• https://www.youtube.com/watch?v=YVy8yhocrmA


  • http://www.monstrueuse-injustice.net/


  • Je m’appelle Jean-Philippe, mon histoire, comme des milliers d’autres histoires de séparation de couples (avec enfant) se déroule dans notre pays. Des récits comme celui-ci, il y en a tous les jours en France. Ce récit est révélateur du n’importe quoi généralisé.

     

    J’ai vécu en couple près de quinze ans et nous avons eu une fille stèphanie née en 1990.

    A la suite de notre séparation à la fin du siècle dernier, le juge aux affaires familiales a été saisi pour décider de la garde de stèphanie.

    La garde a été confiée exclusivement à mon ex concubine. Je ne disposais que d’un droit de visite.

    Tout s’est passé relativement bien jusqu’en 2003 bien que mes droits de garde n’étaient pas toujours bien respectés. Mon ex concubine a rencontré un autre homme. De mon côté je rencontrais celle qui est devenu ma femme.

    En 2004, stèphanie (14 ans) a commencé à se plaindre de violences physiques et verbales de la part du concubin de sa mère.

    Je lui ai conseillé d’écrire au juge aux affaires familiales et de porter plainte au commissariat. J’ai fait examiner ma fille par mon médecin traitant et celui-ci a fait un signalement de sévices physiques.

    Puis au bout de quelques semaines, ma fille s’est rétractée, très probablement du fait des pressions qu’elle subissait. Du coup le dossier a été classé sans suite par le Procureur de la République. Après cela une cascade de situations que je désignerais comme inqualifiables, dans le cadre d’un Etat de droit, se sont déroulées en toute impunité.

    D’abord une convocation au commissariat pour une soi-disant confrontation. Ce ne fut qu’humiliations et intimidations de la part d’une gardienne de la paix. Ensuite en 2006 convocations devant le délégué du Procureur de la République lequel n’hésitant pas à me traiter de « menteur » tout en me menaçant de six mois de prison ferme et d’une amende de 7500 Euros. Mon tort, il faut bien le dire, avait été de signaler un délit et d’avoir dit la vérité.

    En 2010, je fus saisi sur mon salaire alors que j’étais prêt à payer la pension à ma seule fille devenue majeure comme la loi m’y autorise.

    En 2011 je saisissais le juge aux affaires familiales pour demander la fin de la saisie et la baisse du montant de la pension car mes revenus avaient changé à la baisse. Niant l’évidence et au mépris de la loi, la pension fut augmentée et la saisie poursuivie. Quant aux documents fournis (fiches de salaires, etc) à l’appui de mon dossier ils ont été « égarés » (sic) ce qui n’est pas rare dans des processus judiciaires.

    Signalons mes difficultés à obtenir un certificat de scolarité qui devrait être fourni comme preuve d’ études de ma fille.

    De multiples dysfonctionnements ont, comme le lecteur a pu le constater, émaillée cette affaire. Ajoutons aussi outres les menaces, les dénis de justice, des discriminations sexistes et religieuses.

    Quant à ma fille stèphanie, type même de l’enfant victime d’aliénation parentale, elle s’est permise de diffamer son père sur Facebook. Devenue majeure, elle se campe dans le rôle qu’on lui a appris “d’ennemie de son père”.

    Au delà de cette triste affaire, la France est devenu malheureusement le pays du non droit où l’argent (et les réseaux) règnent en maître. Ceux qui ont les moyens de s’offrir un bon défenseur ont de sérieuses chances de faire aboutir favorablement leurs affaires. Pour les autres par contre (la majorité) il ne leur reste qu’à vivre dans la souffrance perpétuelle qu’occasionne ce genre d’expérience.

    Dans notre société, la vérité est devenu le mensonge. Le mensonge est érigé en vérité. Voilà pourquoi il faut se regrouper au sein de l’association DROITS ET LIBERTES. Ensemble nous serons plus forts et aussi moins seuls face à ces difficultés.

    jean-philippe

     

  • A la suite d’une banale fuite de gaz dans mon immeuble;le 5 mars 2012,les pompiers et 2 policiers de vienne sont venus pour faire des contrôles,ce qui est normal jusque là. Leurs recherches ce sont concentrés sur notre appartement;car il y avait un fort dégagement de gaz;mais ils n’ont rien trouver. Il y avait les pompiers et les 2 policiers. Ce qui n’est pas normal,c’est que les 2 policiers ce sont permis de faire des choses graves et une atteinte à la dignité,à la vie privée de ma femme et de moi-même. Je ne connais pas les noms de ces 2 policiers,mais je serais les reconnaîtrent,car j’ai une très bonne physionomie. Un des 2 policiers c’est permis de faire un contrôle d’identité sur le physique,raciste(ma femme est d’origine camerounaise)ceçi est un délit de facié,ni moi,ni les autres locataires de l’immeuble ont eûs un contrôle d’identité et le deuxième policier à été fouiné dans un de mes placards sans mandat de perquisition,sur le coup je n’ai pas réagis car nous étions dans l’affolement à cause de cette fuite de gaz;c’est après qu’ils soient parti que je me suis rendu compte de cette situation grave. Si je m’étais rendu compte de cette situation,j’aurais éjectés de mon appartement avec fracas ces 2 policiers,je suis chez moi et c’est un lieu privé. Il faut vous dire que dans ce beau pays qu’est la france,nous rencontrons certaines personnes au niveau des administrations,des maffieux,escrocs,voleurs,menteurs et salopards en tout genres,qui se croit au dessus des lois;protégés par différents réseaux. La police et la justice quand ils commettent des délits ne sont jamais coupables;ils se protégent entre eux. Je suis une personne honnête et je suis comme beaucoup de français,j’en ai marre de la mentalité pourrie dans laquelle la france s’oriente;il n’y a aucune démocratie,si ce n’est qu’en façade. Je crois qu’il faudra faire d’urgence quelque chose pour retrouver une démocratie en france avant que la guerre civile n’éclate parce que ce jour là ce sont les français qui réglerons leurs comptes entre eux. La france est dans une situation très très grave au niveau de la démocratie,avec une atteinte grave aux droits humains et j’ai honte de mon pays. jean-philippe

     


  • direction générale de la police nationale

     

    direction centrale de la sécurité publique

    direction départementale de la sécurité publique de l’isère

    DDSP n°2012/14522

    GRENOBLE le 6 août 2012

    Monsieur,

    Votre correspondance,en date du 26 mai 2012,adressée à Monsieur le ministre de l’intérieur,a attiré toute mon attention.J’attache en effet du prix à que les policiers placés sous mon autorité observent de façon stricte le code de déontologie,notamment dans leurs comportements vis à vis du public.
    Les événements dont vous avez été témoin involontaire n’ont pas,par ailleurs,un caractère anodin et on ne peut mésestimer les retentissements psychologiques qu’ils ont pu engendrer.
    Toutefois,il me paraît utile de revenir en quelques mots sur le contexte très particulier dans lequel cette opération de police a été déclenchée et les conditions dans lesquelles elle s’est déroulée.
    En date du 5 mars 2012,aux alentours de 23h30′,l’intervention des services de police de la ville de vienne était requise par les sapeurs-pompiers,à la suite du signalement d’une fuite de gaz dans un immeuble sis cours de verdun.
    Comme vous ne l’ignrez certainement pas,les services de police n’ont pas seulement une vocation répressive.Ils ont aussi pour mission d’assurer la sécurité des biens et des personnes.
    C’est pourquoi,en raison des circonstances d’une exceptionnelle gravité,un équipage de policiers appartenant à la brigade de roulement de nuit était dépêché sans délai sur les lieux.
    Prêtant assistance aux sapeurs-pompiers,ils pratiquaient une visite de deux des trois appartements(le dernier résident étant absent),en vue de découvrir l’origine de la fuite de gaz,et avec l’accord des occupants.
    Cette opération,menée sous le commandement d’un chef de bord expérimenté et consciencieux,ne pouvait en rien être assimilée à une perquisition.
    Elle se déroulait,au demeurant,dans le plus grand calme et se traduisait simplement par le déplacement de quelques meubles afin de positionner un détecteur à proximité immédiate de tuyaux de gaz.
    A l’issue de ces recherches,il vous était demandé,ainsi qu’à un autre habitant,de fournir quelques éléments d’identité.Là encore,il ne s’agissait en rien d’une démarche inquisitrice,mais simplement d’une demande usuelle,permettant aux fonctionnaires de renseigner une main-courante informatique.
    Le déroulement de l’intervention des services de police dans votre domicile n’appelle de ma part aucune remarque particulière,les fonctionnaires concernés n’ayant commis aucune faute.
    Plus que par l’opération en elle-même,il me semble que vos remarques négatives sont plutôt inspirées par un certain ressentiment à l’égard des institutions policières et judiciaires.Or,au terme de l’enquête interne à laquelle j’ai fait procéder,il m’apparaît impossible de vous suivre dans cette remise en question.
    En effet,j’ai pu observer que les diverses procédures judiciaires vous concernant ont été diligentées avec la plus grande rigueur.Comme c’est l’usage lors d’investigations de ce type,vous avez eu tout loisir d’exposer votre version des faits au cours de vos auditions.
    Et si l’attitude des policiers a pu parfois vous sembler désagréable,voire inquisitrice,il faut comprendre qu’elle a été dictée par les impératifs de la procédure judiciaire,qui privilégie l’examen des faits au détriment des sensations subjectives ou des interprétations.
    Au terme de ces différentes enquêtes,diligentées sous le contrôle constant,faut-il le rappeller,du procureur de la république,ce magistrat a pu se prononcer au vu des éléments objectifs portés à sa connaissance et en toute indépendance.
    Il ne m’appartient pas de formuler le moindre commentaire au sujet des décisions de justice,la séparation des pouvoirs étant,comme vous le savez certainement,un des fondements du droit français.Je me permettrais seulement de souligner que les services de police placés sous mes ordres ont toujours observé une stricte impartialité dans le traitement des procédures vous concernant.
    Je vous prie de croire,Monsieur,à l’expression de mes sentiments les meilleurs.

    JEAN-PAUL PECQUET

    COMMENTAIRES:
    Suite à ce courrier et ne pouvant croire aux allégations de ce monsieur qui me prend pour un(CON…),qui se réfugie derrière la séparation des pouvoirs pour caché son mépris des gens,qui malheureusement,comme beaucoup de responsables,qui ne le sont pas dans la réalité,il couvre les délits de ces subordonnés;donc je ne peut lui faire confiance.
    Il vient parlé de déontologie,c’est gens n’en n’ont aucune et pour salir les honnêtes gens sont prêt à commettre les pires délits;ce sont des gens très dangereux;ils viendront bientôt chez vous pour vous assassinés.
    Ils ont tous les défauts,corrompus,parasites,escrocs,voleurs,menteurs,dans certains cas assassins,pédophiles…etc.
    La france comme je le souligne est un pays dictatorial,je le confirme dans tout les articles que je mets sur mon blog,car je ne suis pas le seul à avoir subit des préjudices graves,nous sommes des milliers;victimes des violences institutionnelles..
    Ce monsieur,qui est un monsieur je sais tout,viens fourré son nez dans des affaires qui ne le regarde pas en l’occurrence mes problèmes de séparation,dont il ne connaît ni les tenants ni les aboutissants,il ferais bien mieux de s’occuper de ces affaires.
    Je n’ai plus confiance à tout jamais des institutions de mon pays,qui est un pays d’hypocrite,qui vole en permanence,les citoyens et dont je ne reconnaît aucune forme de légitimité.
    Après la mode »je suis responsable mais pas coupable »il y a la mode du »il ne c’est rien passé ».
    La république bananière française se targue en permanence d’être la patrie des droits de l’homme,ce n’est qu’une dictature emballée dans un bel emballage cadeau de démocratie.
    Ne vous faites aucune illusion l’ennemi,n’est pas votre voisin,mais il est à la tête de nos institutions,ils n’aiment pas la france et les français et sont là pour nous détruirent.

    jean-philippe


  • vienne le 30 novembre 2008

    Madame Vorgeat christelle
    54,cours de verdun
    1 étage
    38200 vienne

    Madame,Monsieur,

    Je soussigné madame Vorgeat christelle,agissant en tant qu’épouse de monsieur Vorgeat jean-philippe
    certifie sur l’honneur que le 18 décembre 2005 au environ de 20 heures,mademoiselle Vorgeat stèphanie,
    fille de mon époux,s’est présenté à notre domicile en pleurant et ce plaignant qu’elle avait été frapper par
    son beau-père monsieur Fontbonne raphaël.
    Mon époux a télèphoné à mademoiselle Molinier marie-madeleine s’est vu répondre par elle même que
    ce qui se passe ne le regardait pas.
    Je vous prie de croire,Madame ,Monsieur en mes sincères et respectueuses salutations.

    Vorgeat christelle


  • JEAN-PHILIPPE OU LES DIFFICULTES D’ÊTRE UN PERE EN FRANCE Je m’appelle Jean-Philippe. En 1986 j’ai vécu en concubinage avec Marie-Madeleine, de notre union est née Stéphanie en 1990. Dix ans plus tard en 2000, Marie-Madeleine et moi nous nous sommes séparés à sa demande. Le jugement qui a suivi cette rupture accordait classiquement à la mère une pension alimentaire et à moi, son père, un droit de visite et d’hébergement d\’autant plus aisé que nous habitions dans la même ville (Vienne en Isère). Déjà les horaires pour mon droit de visite n’étaient pas respectés par Marie-Madeleine et j’attendais souvent devant sa porte son retour pour prendre ma fille ou la ramener les week-ends. De même Marie-Madeleine a plusieurs fois abusé en décidant unilatéralement de ne pas me confier notre fille estimant que déjà > ? Alors que c’était tout simplement mon devoir et mon droit de père! C’était aussi tout simplement la loi… Mais Marie-Madeleine ne semble considérer que la loi c’est uniquement sa volonté personnelle et estime que le père n’a que le droit de se taire et de payer. Je garde de notre relation l’image d’une femme ayant des difficultés personnelles et usant à mon encontre d’une forme de violence. Elle me reprochait sans cesse mes relations, ma famille, mes choix religieux et au fond, tout ce que j’étais. Cela n’est pas sans me rappeler une forme de harcèlement moral qui vise à discréditer l’autre, à le rabaisser ceci pour mieux le soumettre à ses changements d’humeur et en somme à sa tyrannie. Ce harcèlement moral est toujours le fait des violences conjugales et précède souvent les coups dans le cas des maris violents. Signalons que Marie-Madeleine a vécu avec un nouveau compagnon, Raphaël. Je me suis moi-même marié de mon côté. Cette séparation aurait pu se dérouler au mieux pour permettre le bonheur de Stéphanie. Pour ma part je suis un adulte et j’ai au fond choisi à un moment donné de vivre avec cette femme. J’en assume donc les conséquences. Le problème c’est que notre fille, Stéphanie, une adolescente de 14 ans, a fait les frais des déséquilibres de sa mère et de sa nouvelle liaison avec Raphaël. En effet elle a été victime de violences physiques de la part du compagnon de sa mère. A partir de juin 2004,j’ai commencé à déposer des mains courantes à la police pour des violences à l’encontre de Stéphanie qui un soir est même arrivée en pleurs chez moi. Ma fille a été examinée par mon médecin de famille et a déposé plainte…puis elle a retiré sa plainte probablement par peur. Quant à mes plaintes à la police ou au tribunal, elles sont restées sans suite. A mes demandes d\’explication téléphonique Marie-Madeleine m’a répondu que ce qui est la meilleure car je suis le père de Stéphanie! A partir de là, les relations ont été de plus en plus tendues avec des interventions assez partiales de la police. Je pense à une inspectrice de police, madame glasson, qui nous a reçu Marie-Madeleine et moi et qui s’est permis des commentaires assez déplacés contre la garde alterné (la loi la permet!) et sur la manière dont le jugement avait fixé le paiement de la pension ! Le 31 mai 2005, j’avais en effet demandé la garde alterné en vue de retirer un peu plus souvent Stéphanie de ce milieu si défavorable. De son côté, Marie-Madeleine, suivant sa stratégie de brouillage puis d’anéantissement de mes droits de père a déposé plainte contre moi pour ! En mars 2006, brutalement, la justice, sourde à mes demandes se réveille. Je suis convoqué par le procureur monsieur Labeaume. A ma grande surprise celui-ci me qualifie de menteur et me menace de me faire jeté en prison (sic) ou de payé 7500 euros d’amende! Tout cela devant mon avocate qui n’a même pas réagi ! Je suis sorti de cet entretien totalement abasourdi! On retrouve là une vraie stratégie de harcèlement moral qui, d’abord pratiquée par Marie-Madeleine s’est étendue à la police et au tribunal de vienne ! Pourquoi harcèlement moral ? 1. D’abord les violences verbales y compris de la part d’agents de l’Etat dont la mission serait plutôt d’être, il me semble, impartiaux dans un conflit familial. 2. En outre je pense à ma fille qui a senti ma totale impuissance à l’aider et qui à même subi le contrecoup négatif de mes tentatives. Je crois qu’elle a pu m’en vouloir et s’est renfermée sur elle même. Aujourd’hui elle a 20 ans et nos rapports sont très difficiles du fait qu’elle est mal à l’aise dans sa peau. 3. Ensuite la passivité des institutions pour améliorer la situation de ma fille suite à mes plaintes répétées. On ignore superbement tout ce qui vient contrer mon ex-compagne Marie-Madeleine ! Justice et police me semble partisanes ! 4. Cette même Marie-Madeleine ne répond jamais à mes courriers au sujet de notre fille et répète que l\’éducation de ma fille alors que, par ailleurs, elle tient beaucoup à ce que cela soit elle qui reçoive la pension à la place de notre fille devenue majeure. 5. En mai 2010, ma fille devrait, selon la loi, recevoir elle même la pension pour la poursuite de ses études. J’en fait la demande auprès du tribunal de vienne. Le jugement n’arrive que fin décembre 2010. Sept mois plus tard ! Il a fallu sept mois, bien des frais (avocats,…) et beaucoup de soucis pour obtenir que…ma demande de versement directe ne soit même pas discutée par le tribunal. Que faire ? Appel ? Encore des frais !! Encore des alarmes et des soucis ! Je suis écœuré
    jean-philippe
     

  • Bonjour,
    Etant en conflis depuis 12 ans avec mademoiselle molinier marie-madeleine,j’ai été saisi sur salaire en octobre 2010;malgré le non respect des droits de ma fille et de mes droits de père,aucune information sur les études de ma fille et justificatifs de scolarité pendant 10 ans normalement fourni par mon ex-concubine mademoiselle molinier.
    Une escroquerie à été monté de toute pièce par mademoiselle molinier avec la complicité de la SCP moutet et renaudier 34,cours de verdun bp 204 38201 vienne cedex  en vu de m’estorquer de l’argent.
    Le 20 octobre 2012,j’ai écris au président de la chambre départementale des huissiers de justice de l’isère,
    maître montoya hugues qui possède un cabinet 18 bis,cours sénozan 38500 voiron ,j’ai eu une réponse de sa
    part le 7 novembre,me disant qu’il avais envoyé un courrier à SCP moutet et renaudier pour avoir des éléments de rèponse.
    J’ai reçu un courrier le 12 décembre de maître montoya m’informant que la SCP moutet et renaudier n’avais commis aucune faute.
    Nous retrouvons encore là une impunité criante de la part de ces auxilliaires de justice qui se croit au dessus de tout et qui commettent des délits,couvert par leur hiérarchie et je pense que dans ce pays de maffieux et pourri qu’est la république bananière française,celà deviens un sport national de détruire la vie des honnêtes gens.

    jean-philippe


  • BONJOUR, Il y a 2 ans j’ai été saisi sur salaire,malgré le non respect de mes droits de père;aucune information sur les études de ma fille depuis 10 ans et justificatifs de scolarité,normalement fourni par mon ex-concubine mademoiselle MOLINIER marie-madeleine En juillet 2010,ayant payé la pension par chèque bancaire;mademoiselle MOLINIER est venu soutenir au cabinet d’huissier MOUTET et RENAUDIER à vienne que je devais ce mois de pension,étant saisi en octobre 2010 pour un retard de pension normalement de 3 mois;hors j’ai été saisi sur 4 mois de pension,alors que j’avais déjà payé le mois de juillet. Malgré les courriers écrit en recommandé avec accusé de reception par mon avocate,ils ne m’ont jamais répondu Ce silence est un aveu d’une complicité avec mon ex-concubine de m’extorquer de l’argent. Je demande le remboursement immédiat de la somme qui m’a été volée avec les intérêts par mon ex-concubine. jean-philippe


  • Je suis partie voir mon médecin et c'était sur R.D.V.
    Arrivée chez mon médecin le 3 juillet 2009,et j’avais un heureux événement à vivre l’année suivante donc je me suis dis voilà une bonne occasion pour moi avec mes quelques kilos en plus de demander à mon médecin un produit efficace à prendre avant mon mariage;chose qu’il n’a pas hésiter et qu’il me prescrivait ce
    même jour le dangereux produit du nom médiator et m’expliquait comment le prendre donc 3 sachets tous les jours pendant 6 mois et moi toute contente et naïve,à la sortie du cabinet du médecin,je me suis rendue
    tout de suite à la pharmacie la plus proche pour me procurer ces médicaments qui au jour d’aujourd’hui ma
    santé ne serai plus jamais,je dis bien plus jamais comme avant.
    Une chose m’intriguait dés la première prise de ces cachets sans pour autant m’en doutais,je n’étais plus la même personne,les palpitations,meaux de tête,vertiges,3 cachets de médiator par jour;aujourd’hui avec un
    coeur,trop trop fragileet qui ne cesse de gonfler,des cachets et plus encore des cachets,donc le triple du
    médiator et prescrits ce jour par mon cardiologue et ma vie est devenue un enfer et avec la peur au ventre que mon coeur ne me lâche à tout moment.
    La situation dans laquelle mon mari et moi vivont aujourd’hui,n’est autre chose pour vous dire est invivable…merçi à vous.
    Voilà le témoignage de mon épouse Christelle Vorgeat,victime comme des millions de personnes,de l’industrie pharmaceutique chimique mondiale et comme à chaque fois,il n’y a aucun responsables,comme dans de nombreuses affaires où il n’y a que l’argent qui compte et les victimes ont s’en moquent.
    Pour quelques individus sur terre,le leitmotiv,c’est d’imposer leurs idées par la force si il le faut,à plusieurs
    milliards d’êtres humains;pour eux il faut éliminer 2/3 de la population mondiale par l’empoisonnement de
    la nourriture,la médication chimique et la vaccination,dans certain cas plus où moins douteuse,la pollution
    de l’environnement,les guerres,la manipulation tout azimutz…etc

    jean-philippe

     


  • Cette affaire du domaine de la justice prud’homale qui dure depuis 16 ans est surtout révélatrice du deux poids deux mesures qui règne au pays de la réputée égalité des droits. Dans ce pays certaines personnes sont clairement « protégées » au détriment d’autres qui sont écrasées. Depuis 1974, Jean-Pierre LUCOT était ingénieur salarié au Secours Routier Français, (SRF) association parapublique chargée d’installer et d’entretenir des téléphones d’appel d’urgence sur les routes. L’association vit des commandes publiques de l’Etat. A partir d’un mode de versement très anticipé des dotations, il se crée une trésorerie « abusive ». Cette abondance suscite des abus et des fautes dans la gestion des responsables de l’association. Suite à un rapport critique, le Secours Routier Français est privé brutalement de travail par l’Etat. Celui-ci, pour liquider l’association crée une autre structure pour laquelle Jean-Pierre LUCOT travaille aussi. Un préfet lui garantit même le maintien de son emploi. Pourtant à 52 ans et 21 ans de bons et loyaux services (notamment la remise en ordre du SRF, à la suite des turpitudes ci-dessus) celui-ci se retrouve licencié. Ceci au mépris des engagements, du droit élémentaire des salariés. Interdit de séjour dans son activité, il ne retrouvera plus jamais de travail. Jean-Pierre LUCOT se trouve être pénalisé, doublement licencié : Pour motif économique par le Secours Routier Français (pour 30%). Et à quatre mois ½ d’intervalle, Pour une prétendue « faute grave » par l’autre structure (pour 70%) après que cette structure ait bénéficié pour ce faire de 1 MF (150.000k€) d’argent public du Secours Routier Français. La faute grave ne sera jamais définie. En décembre 1996, un 1er jugement des Prud’hommes déqualifie la « faute grave » en faute qu’il n’explicite pas plus pour autant. En septembre 1997, un 2nd jugement des Prud’hommes valide le licenciement économique en dépit de nombre de faits contraires patents dont une garantie d’emploi violée et d’un prétendu reclassement dans la structure qui l’a licencié pour faute grave. L’appel de ces deux jugements ne sera jamais jugé.Suivent des années de procédures, de démarches se heurtant à une volonté générale de botter en touche dans une affaire où un homme a subi un préjudice professionnel et moral grave auquel s’ajoute 70.000€ de frais d’avocats (défaillants et/ou fautifs) en pure perte. En septembre 2010, la prétendue « faute grave » toujours « non démontrée » reste maintenue dans son principe sans que sa consistance (fût-elle celle d’une faute simple) soit pour autant explicitée après 15 ans de procédure ! Ce qui permet, et a priori, que soient blanchis le bénéficiaire du 1 MF (d’argent public) versé via le SRF qui devait soi-disant garantir mon emploi et avec lui, ceux qui le lui ont accordé imprudemment, mais alors, s’il n’y a plus de faute… indûment. Devant l’objectif illégal poursuivi de mise à l’index de Jean-Pierre LUCOT de son secteur d’activité, on ne peut s’empêcher déjà d’évoquer certaines dérives d’une autre époque qu’on croyait oubliées. Elles ont malheureusement ici au surplus été conduites sous la tutelle d’un préfet… ! Dans cette affaire, où l’Etat est juge et partie, la Justice a fait ensuite le lit de l’arbitraire . Victime de dénis de justice à répétition, Jean-Pierre LUCOT, a notamment été privé : du respect de la présomption d’innocence, puisque la faute (grave ou non) étant inconnue, il ne peut prouver qu’elle est inexistante. du droit au procès équitable, puisque depuis seize ans il se heurte à des aléas qui font toujours ignorer la consistance de la faute et qui maintiennent une chronologie factuelle si aberrante et partisane que la Cour d’appel, 15 ans après les faits, souligne encore qu’une contestation existait, tout en s’abstenant de la trancher. du droit effectif au recours qui lui a été ôté de facto (ex : un de mes avocats ayant encouru la péremption en appel). La question du député Moyne-Bressand trouve ici tout son sens, où il remarquait qu’en pratique, il était impossible de mobiliser l’avocature sur de telles causes en vertu de règles implicites. L’attitude du Médiateur de la République (qui devait s’orienter vers une faute lourde … de l’Etat !) est à ce sujet tout à fait révélatrice de celle de l’Etat français qui préfère se laisser spolier pas ses propres agents que de les sanctionner pour leurs fautes. Et en plus, pour le cas où ils seraient inquiétés, il prend en charge leur défense… pour l’avoir si mal servi. Les juges ont fait de Jean-Pierre LUCOT le seul condamné de toute cette affaire peu reluisante… pour avoir réclamé un préjudice qui n’existerait pas. Huit ans de chômage n’en étant manifestement pas un. jean-philippe
     

  • Je suis à l’âge de la retraite aux normes françaises mais pas aux normes de mon pays où l’on prend sa retraite depuis tout temps à 65 ans. Je suis propriétaire d’une maison et je me retrouve totalement dans les commentaires sur votre blog. On tente de me la prendre par des fourberies criminelles dont la spoliation en justice. C’est dans ce cadre que je suis devenue enquêtrice pour Interpol, une police Internationale toujours à la recherche de criminels internationaux contre lesquels il faut apporter un maximum de preuves pour les prendre sur le fait et les empêcher d’être nuisibles. Je teste en ce moment le système de protection et de sécurité internationale pour les victimes qui clairement n’ont aucune possibilité de défense par la justice ici en France. J’ai écrit lors du gouvernement de Monsieur Sarkozy au Ministre de la Justice Claude Guéant en citant la phrase suivante : « Où allons nous si les escrocs portent des robes de Magistrat!!! » Il est clair que les démunis ne peuvent pas avoir droit à un avocat puisqu’ils ne peuvent pas les payer. Pourquoi parce que ce réseau s’est bien arrangé (il est très patient) pour que vous n’ayez plus l’argent d’en payer un. Dans mon besoin d’avocat j’ai appelé Maître Sarfrati de Saintes, il m’a dit clairement un entretien avec votre chéquier, comme ils se sont arrangés pour me l’enlever : donc pas d’avocats. En aide juridictionnelle un avocat m’a été attribué, il va plaider ma cause pour une plainte que je n’ai pas faite à une audience avancée par la Cour de Poitiers. Il est évident qu’il y a un faux en écriture. Toute cette affaire a été suivie par mes collègues d’Interpol et des Services de Sécurité qui sont sur l’affaire. Les témoignages sur votre blog sont pour mes collègues des preuves supplémentaires. Le réseau est sous surveillance. On les laisse faire leurs petites affaires mais on note, on filme, on enregistre pour rassembler de gros dossiers sur eux. Ce dossier doit déjà être conséquent. J’ai imprimé votre blog et je l’utilise comme papier à lettre. J’ai des courriers qui partent notamment à l’étranger dans des pays voisins à la France. Il est grand temps que les Européens soient au courant de ce qui se passe ici en France. Bon courage, on y travaille à une vraie justice. jean-philippe


  • vienne le 28 décembre 2008Monsieur Rahal Grégory
    20,rue émile romanet
    38200 vienneJe connais monsieur Vorgeat jean-philippe depuis l’année 2000.
    Je suis donc dans une situation où j’ai pu observer sa situation
    psychologique,depuis sa séparation avec mademoiselle Molinier
    et surtout avec sa fille.
    J’ai constaté que monsieur Vorgeat était moralement meurtri,tant du
    point de vue de son honneur que de son honnêteté,car ceux-çi ont
    été bafoués,sachant que je le connais suffisamment pour apprécier
    sa probité,sa droiture ainsi que sa franchise.
    Veuillez agréer,Madame,Monsieur,l’expression de ma considération
    distinguée

     
    Rahal Grégory

  • Je vais m’appeler Personne dans ce récit, Guillaume Personne. Guillaume (j’aime bien ce prénom) et Personne (vous allez voir pourquoi). Mon fils Marc Personne est né en 1982. Avec sa mère Manon, nous vivions maritalement. Quatre ans plus tard, à la demande de Manon, nous nous sommes séparés. Manon m’avait écrit en souhaitant que « notre séparation soit la plus belle possible ». Assez méfiant sur la mentalité de celle qui était devenue mon ex compagne, j’ai choisi de saisir un juge afin de fixer, en commun, le nouveau cadre dans lequel nous allions vivre. Ainsi fut fixé en commun accord le droit de garde, de visite (mon fils, Marc, vivant assez loin de mon domicile) et de pension. Manon s’est mariée de son côté avec Claude dont elle a eu un autre enfant. Notre fils Marc a ainsi vécu avec sa mère pendant dix années entre l’âge de quatre ans et celui de quatorze ans. Lors des vacances scolaires, Marc venait chez moi en avion ou en train. Sur une année, je passais environ trois mois en compagnie de mon fils et beaucoup de pères divorcés n’étaient pas aussi bien traités que moi. Quant à sa mère, Manon, quelque soient mes difficultés, elle recevait un chèque de pension alimentaire tous les mois. Notre accord s’est prolongé jusqu’à l’été 1995. A ce moment Manon a réalisé un vieux projet : s’installer en Bourgogne près de sa famille. Je puis dire qu’à partir de ce moment tout s’est gâté. Elle a d’abord cherché à m’imposer le doublement de la pension alimentaire puis à mettre des entraves à mon droit de visite en voulant me forcer (par exemple) à payer une « hôtesse » dans le TGV pour accompagner Marc qui avait treize ans ! Cette hôtesse était destinée selon elle à « le protéger du danger terroriste » car c’était l’époque des attentats des Groupes Islamiques Armés algériens visant des trains ! Considérant qu’il y avait là un net abus, je saisissais le Juge aux affaires Familiales. L’affaire traitée en février 1996 déboutait la mère de la plupart de ses prétentions. Je constatais cette occasion que Marc (treize ans) semblait être troublé par une tentative de manipulation par sa mère. L’année suivante en 1997, Manon décède brutalement à l’âge de trente-six ans. Je découvre à l’occasion à quel point le décès d’une femme qui avait pourtant renié notre amour m’afflige. Cette mort frappe aussi terriblement Marc à l’aube de ses quinze ans. Déchiré, mal dans sa peau d’adolescent, peut être en conflit avec sa mère et le voilà orphelin. Lourd de regrets, de mauvaise conscience et de peurs. Ce malheur ne suffisait sans doute pas à Marc. Il va contribuer à en créer d’autres en agissant sous l’influence de son entourage maternel. Tout va s’enchaîner comme un infernal chaos qui semblait n’attendre que cela pour surgir de la tombe fraîchement creusée de Manon. D’abord Claude, son beau père, se débarrasse de Marc le plaçant chez son grand père maternel, Félix. Ceci sans beaucoup d’élégance ni de sens des responsabilités. Il déclare en effet que cet enfant « lui a assez coûté cher comme cela ! ». Félix était un personnage fort peu reluisant. Lorsqu’il était plus jeune, il avait abandonné ses trois enfants et son épouse sans aucune ressource pour aller courir les filles. Son penchant lui a même valu de compter parmi ses conquêtes féminines… sa propre fille Manon ! Voilà le phénomène qui va s’occuper de l’éducation de mon propre fils sans que nul n’ai songé que le père était tout le même le mieux placé à tous les points de vue pour élever son fils.1 Pourtant malgré mes protestations et neuf ans de procédures, la Justice de Bourgogne m’a refusé le droit de garde et d’hébergement pour mon propre fils. Même le droit de visite m’a été retiré. Tout ceci avec l’accord de Marc qui a lui même fugué de mon domicile lorsque je l’ai repris sous mon aile (avec le soutien du juge et contre la loi française2). Je découvre aussi l’institution judiciaire pour laquelle j’avais, avant cette date, estime et respect. Un éducateur lié à la Justice qui déclare que Marc ne veut pas vivre chez son père ce « qui est compréhensible et légitime » (sic). Un juge particulièrement lourdaud et aveugle qui dénonce ma « radicalisation » face à ses propres ordonnances scandaleuses, illégales, illégitimes et impies. Pourtant il m’était proprement impossible d’admirer la débilité de ses jugements qui procédaient à ma totale évacuation comme père de mon propre fils ! Ceci au nom de « l’intérêt de l’enfant » : notion floue et d’une plasticité étonnante autorisant toutes les manipulations. Un juge des tutelles m’engage à gérer la fortune de mon fils (héritée de Manon) au nom d’une « autorité parentale » dont je me demande ce qu’elle peut représenter dans l’esprit de ces magistrats. Ceux-ci en première instance ou en appel m’ont détruit comme père ! Comme Félix, mon ex-beau père, veut jouer, à mon détriment, le rôle d’un père et qu’il a déclaré en audience « j’assumerai financièrement » je me dis que l’on va peut être bien en rester là. Et bien non ! Les gens de cet acabit poussent l’ignominie jusqu’au bout. Soit leur propre anéantissement… soit le vôtre… En effet trois ans après cette forfaiture (2000) je reçois une lettre des Allocations Familiales lancées à ma poursuite par le gentil grand père Félix. Je suis réputé lui devoir des sommes considérables au nom d’une réputée pension alimentaire. Plus tard ce fameux Félix qui avait déclaré « j’assumerai financièrement » a dit en audience « qu’il était entré aux Allocations Familiales « comme cela, pour voir s’il n’avait pas droit à quelque chose » (sic). La guerre assoupie est relancée. Je découvre un jugement qui ne m’avait même pas été signifié (adressé officiellement). Un autre où il est écrit (sans rire) que « personne ne s’oppose à l’excellente éducation » de Félix mon excellent beau père ! Je me souviens que j’avais pourtant dénoncé cette réputée « éducation » dans une certain nombre de procès verbaux de gendarmerie ! Je suis donc personne. Le père c’est personne dans cette belle histoire qui (hélas) est parfaitement véridique. Le fait qu’un jugement ne m’aie pas été signifié me permet de réagir et de contre attaquer en justice. J’ai encore confiance. Je pense que ce qu’un juge peu scrupuleux a fait, un autre, plus proche du droit, pourra le défaire. En même temps je contribue à fonder avec quelques amis concernés eux aussi par les injustices qui se multiplient dans notre pays, l’association Droits et Libertés. J’y rencontre Jean-Pierre Marini concerné lui aussi par une affaire assez comparable. Les dossiers envoyés par cette association aux responsables politiques, associatifs médiatiques, religieux n’ont trouvé que peu d’écho…. Peu d’écho aussi parmi nos concitoyens. Soit l’incrédulité, soit le doute (« ce n’est pas possible il a du faire quelque chose de mal ») soit même la méfiance (« il n’y a pas de fumée sans feu »). Il y a aussi les affectifs (« il faut réconcilier le père avec le fils »). Ceux là découvrent qu’il n’est pas besoin de participer à une association pour cela ! Mais le plus souvent et très majoritairement : c’est l’indifférence, la gène ou la fuite. Saisi sur mon salaire en 2003 je vais même être amené à faire une grève doublée d’une grève de la faim. Puis Personne Guillaume devient personne tout court en disparaissant socialement en organisant son insolvabilité pour ne plus être saisi. J’ai refusé de payer une pension alimentaire à Félix. Si je l’avais accepté je n’aurai pas été un vrai homme mais une fiotte, une lavette, un mou comme il en existe tant de nos jours. J’ai refusé de payer une pension alimentaire à Félix car c’était tout simplement impensable et profondément injuste et révoltant. J’ai tout connu. Le ton arrogant et cassant des juges, leur lassitude à écouter et leur inaptitude à se remettre en cause. Une fois ils m’ont fait parcourir plusieurs centaines de kilomètres, m’ont fait attendre trois heures dans une salle pour me déclarer en audience que mon affaire sera traitée… dans deux mois… Comme je protestais l’un de ces charmants personnages m’a déclaré : « Dijon est une très jolie ville vous pouvez toujours la visiter ! » Sur cette question de l’éducation d’un adolescent confié à un grand père (désastreux) contre l’avis d’un père qui (lui) n’avait pas démérité je suis allé jusqu’en cassation où j’ai gagné. Hélas la Cour de cassation, deux ans (et deux mille euros) plus tard, a renvoyé l’affaire devant une autre Cour d’Appel. Celle-ci n’a même pas voulu étudier le fond du dossier tout en critiquant, en audience, la Cour de cassation (qui est censée être pour eux une juridiction supérieure !). Rien n’est respectable pour ces gens de justice ! Ils méprisent leurs supérieurs et les justiciables, ils violent le droit et les droits. Ils méprisent le bruit fait autour de leurs catastrophiques erreurs lorsqu’elles passent dans les médias comme dans le cas d’Outreau. Pour eux, ce qui est jugé est jugé et c’est donc vérité immuable. Tout à fait entre nous… La France est endettée… Vous le savez… Calculez ce qu’a coûté cette affaire (éducateurs, spécialistes, magistrats,…) pendant neuf ans au Trésor Public ! Tout cela pour ne pas vouloir reconnaître une évidence énoncée par l’article 26 d’une certaine Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (1948) que la France a paraît-il signé : « Les parents ont par priorité le droit de choisir l’éducation de leurs enfants » Au bout de neuf ans et après tant de batailles judiciaires tous les belligérants étaient sans doute épuisés. Les Allocations Familiales lassées de ma résistance. Félix, plus de soixante-quinze ans, avait d’autres choses à faire qu’à traîner sa délicieuse personne sur les bancs des palais de justice. Moi, désespéré mais toujours aussi combatif. Après une ultime défaite sur la question de la pension mon avocat a proposé un arrangement financier pour établir enfin la paix à défaut de la concorde. Ce n’était qu’une capitulation dans l’honneur que l’on accorde aux troupes qui se sont bien battues. Elles repartent en rangs, avec armes et bagages. Bruissantes de colère et de frustrations elles pourront se battre sur d’autres champs de bataille Pour ma part j’ai choisi de me battre pour Droits et libertés parce qu’un tel délire m’a marqué à jamais sur la déficience et la divagation des institutions (judiciaires parmi d’autres) de notre pauvre pays. 1 Article 371 du Code Civil : « (l’enfant) reste sous leur autorité (des parents) jusqu’à sa majorité ou son émancipation. « (Les parents) ont a son égard (l’enfant) droit et devoir de garde, de surveillance et d’éducation. » 2 Article 371-3 du Code Civil et Article 26 ; Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (reconnue par la France) : « Les parents ont par priorité de droit de choisir l’éducation pour leurs enfants ». jean-philippe
     

  • Je m’appelle Jean-Philippe,je vis depuis l’année 2000,un véritable calvaire,
    suite à une séparation;j’ai fait déjà appel à des nombreux organismes et des
    personnes très haut placés sans résultats.
    J’ai honte de mon pays,vus les délits excessivement graves qui ont étais commis
    contre ma fille et moi-même.
    En 1986,j’ai vécu en concubinage avec Marie-Madeleine,de notre union est née
    Stèphanie en 1990.
    14 ans plus tard en 2000,Marie-Madeleine et moi nous nous sommes séparés à sa
    demande.
    Le jugement qui a suivi cette rupture accordait classiquement à le mère une
    pension alimentaire et à moi,son père,un droit de visite et d’hébergement
    d’autant plus aisé que nous habitions dans la même ville(Vienne en Isère).
    Déjà les horaires pour mon droit de visite n’étaient pas respectés par
    Marie-Madeleine et j’attendais souvent devant sa porte son retour pour prendre
    ma fille ou la ramener les week-ends.
    De même Marie-Madeleine a plusieurs fois abusé en décidant unilatéralement de
    ne pas me confier notre fille estimant que déjà<<j’avais de la chance>><<de la
    chance>>alors que c’étais tout simplement mon devoir et mon droit de père!c’était
    aussi tout simplement la loi…
    Mais Marie-Madeleine ne semble considérer que la loi c’est uniquement sa volonté
    personnelle et estime que le père n’a que le droit de se taire et de payer.
    Je garde de notre relation l’image d’une femme ayant des difficultés personnelles
    et usant à mon encontre d’une forme de violence.
    Elle me reprochait sans cesse,mes relations,ma famille,mes choix religieux et au
    fond tout ce que j’étais.
    Cela n’est pas sans me rappeler une forme de harcèlement moral qui vise à discréditer
    l’autre,à le rabaisser ceci pour mieux le soumettre à ces changements d’humeur et
    en somme à sa tyrannie.
    Signalons que Marie-Madeleine a vécu avec un nouveau compagnon Raphaël.
    Je me suis moi-même marié de mon côté.
    Cette séparation aurait pu se dérouler au mieux pour permettre le bonheur de Stèphanie.
    Le problème c’est que notre fille Stèphanie,une adolescente de 14 ans,a fait les
    frais des déséquilibres de sa mère et de sa nouvelle liaison avec Raphaël.
    En effet elle a été victime de violences physiques de la part du compagnon de sa
    mère.
    A partir de juin 2004,j’ai commencé à déposé des mains courantes à la police pour
    des violences à l’encontre de Stèphanie,qui un soir est même arrivée en pleurs chez moi.
    Ma fille a été examiné par mon médecin de famille et a déposé plainte…puis elle
    a retiré sa plainte probablement pour menace et par peur.
    Quant à mes plaintes à la police ou au tribunal,elles sont restées sans suite.
    A mes demandes d’explication télèphonique Marie-Madeleine m’a répondu que<<cela ne
    me regardait pas>>ce qui est la meilleure car je suis le père de Stèphanie!A partir
    de là les relations ont été de plus en plus tendues avec des interventions assez
    partiales de la police.
    Je pense à une inspectrice de police Madame Glasson,qui nous a reçu Marie-Madeleine
    et moi,et qui s’est permis des commentaires assez déplacés contre la garde alterné
    (la loi la permet!)et sur la manière dont le jugement avait fixé le paiement de la
    pension!
    Je pense que Mademoiselle Molinier à bénéficié de complicité au commissariat de police
    de Vienne.
    Le 31 mai 2005,j’avais en effet demandé la garde alterné en vue de retirer un peu plus
    souvent Stèphanie de ce milieu si défavorable.
    De son côté,Marie-Madeleine,suivant sa stratègie de brouillage puis d’anéantissement
    de mes droits de père a déposé plainte contre moi pour<<diffamation>>!
    En mars 2006,brutalement,la justice,sourde à mes demandes se rèveille;je suis convoqué
    par le Délégué du Procureur Monsieur Labeaume.
    A ma grande surprise celui-çi me qualifie de<<menteur>>et me menace de me faire<<jeter
    en prison>>ou de<<verser 7500 euros d’amende>>!Tout celà devant mon avocate qui n’a
    même pas réagi!Je suis sorti de cet entretien totalement abasourdi!
    Monsieur le Délégué du Procureur de la république m’a certifié que cette affaire ne serais
    pas mentionné sur mon casier judiciaire;mais si je porte à nouveau cette affaire devant
    le tribunal de Vienne j’irais directement en prison,c’est un dénis de justice,un délit
    passible de pénal.
    Le Délégué du Procureur de la république n’a aucun statut juridique,aucun pouvoir,aucun
    droit,il n’est rien;car il ne paie pas d’impôts,n’est pas déclaré,n’a pas de bulletin de
    paie,il est payé au noir avec les impôts des contribuables comme vous et moi.
    Il faut aussi que je fasse des excuses à la police,pour m’humilié un peu plus,je ne vois
    pas pourquoi »des excuses »alors que j’estime qu’ils n’ont pas fait leur travail.
    On retrouve là une vraie stratègie de harcèlement moral,qui d’abord,pratiquée par
    Marie-Madeleine s’est étendue à la police et au tribunal de Vienne!Pourquoi harcèlement
    moral?
    Outre cette affaire qui est grave dans un pays démocratique,l’atteinte grave à mes droits
    fondamentaux d’être humain et de père,atteinte aux droits de ma fille,dénis de justice,
    entrave à la manifestation de la vérité,délit d’initié,humiliations,menaces,non assistance
    à personne en danger,intimidations,atteinte à ma dignité,à mon honnêteté,discriminations
    sexistes et religieuses,négation du vrai,notifications mensongères sur FACEBOOK me traitant
    de pédophile,insulte par ma fille,aliénation parentale,procédure diffamatoire et mensongère
    ,signes franc maçon sur certains documents,aucun justificatifs de scolarité de 2000 à
    septembre 2010 normalement fourni par mon ex-concubine selon la loi;perte volontaire de
    documents fourni par moi-même pour le jugement de novembre 2010.
    Escroquerie et complicité d’escroquerie,commis par mon ex-concubine avec le cabinet d’huissier
    Moutet et Renaudier pour une somme de 168,90 euros.
    Spéculation totalement farfelus sur mes revenus,dans le jugement du 8 mars 2012,d’après
    la juge je gagne plus où moins 3500 euros par mois avec ma femme ce qui n’est pas vrai.
    Saisie sur salaire,sur un faux en écriture publique depuis octobre 2010,sans respect de
    la loi,tout ceci en toute impunité.
    Pour Madame Seris juge aux affaires familliales du tribunal de Vienne,il faut que ma
    femme parte de chez nous pour rencontré ma fille,ce genre de comportement démontre une
    totale imcompétence.
    Ce que je trouve d’inadmissible,intolèrable,c’est que Marie-Madeleine,qui à commis des
    délits,continue à nuire,à distiller ses mensonges,calomnies sur moi et faire ses petites
    magouilles,tout celà sans être inquiéter par les autorités,mais moi par contre, qui n’a
    rien fait j’en prend plein la figure;il y a là volonté de nuire,me détruire de la part
    de toutes ces personnes.
    Il faut dire que les auteurs de certains de ces délits les plus graves sont punissables
    par la loi de 10 à 20 ans de prison ferme et au minimum 150000 euros d’amende.
    En république bananière française,ça ce passe comme celà,mortifère,sataniste maçonnique,
    talmudique,qui se targue en permanence d’être,le pays des droits de l’homme,moraliste,
    donneuse de leçon.
    En réalité ce n’est qu’une dictature,enfermée avec un bel emballage cadeau de pseudo
    démocratie.

     

    JEAN-PHILIPPE





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